Derrière les bâtiments, un espace ouvert sans barrière ni limite avec un long bassin particulier positionné à l’axe symétrique de cette voie principale du parc, qui se prolonge vers l’infini. Ce point de fuite lointain m’a mis dans une situation de curiosité pour découvrir ce qui ne se présente pas à mon regard. 

Depuis l’entrée principale du parc, une perspective allonge notre regard vers le point le plus loin du parc. Cela invite à la découverte des espaces qui ne se sont pas exposés depuis l’entrée. Le parc se présente comme un espace vert arboré, ce qui donne deux plans de lecture. On a la possibilité de voir :

un plan de lecture depuis le niveau de notre champ visuel vers le sol (azimut) qui présente une visibilité importante d’un espace vert fragmenté via les larges voies;

et un niveau de lecture au-delà de notre champ visuel (quand on dirige notre regard vers le ciel) donne une visibilité difficile due à la densité d’arbres qui se croisent.

On sort du parc le bruit des voitures qui devient de plus en plus remarquable, on longe la périphérie du parc (côté rue E.Renan). La présence importante des voitures avec leur bruit met le parc dans un carrefour d’intersection des voies rapides, contradictoire avec la sensation d’un parc paisible et calme de promenade qui invite à la découverte.